Le coronavirus COVID19. Porter vos masques le pire est à venir.
Une pandémie annoncée en cache une autre, et le virus Covid19, est le virus de la décennie il s’est étendu sur la planète plus vite que ses glorieux prédécesseurs, modernisation de la circulation intercontinentale oblige cette pandémie à être plus mortelle que le SRAS et le H1N1.
Mais nous n’en sommes qu’à la première vague ! En 1918 puis en 1957, la deuxième vague, quelques mois après la première, fut grave par les complications respiratoires aiguës mortelles qu’elle a entraînées.
L’incertitude demeure donc, et le débat est vif sur l’ampleur et le coût de la préparation du pire. Soulignons que si la sécurité des citoyens est bien une responsabilité régalienne de l’État, alors il faut reconnaître la nécessité d’anticiper sur la réponse malgré les incertitudes de demain. Tâche difficile.
Ainsi, le fait politique, médiatique et social du Covid 19 marque cette décennie, quand bien même ce ne serait pas directement à cause de ses effets pathogènes. La perniciosité de l’invisible danger se glisse partout, par exemple dans nos comportements à l’égard de nos voisins, suspects désormais d’héberger et de transmettre des virus.
La vente de solutions hydro alcooliques pour nous « désinfecter » les mains – aux caisses des pharmacies, dans les aéroports (les virus voyagent si bien) et même dans les supermarchés – témoigne de l’« émergence » d’une idéologie du risque omniprésent, caché dans la poignée de main, la poignée de porte, le téléphone partagé (heureusement nous avons tous nos portables, mais ils ne sont pas non plus sans risque) ou le clavier d’ordinateur : le monde invisible du Covid19 est au bout de nos doigts, partout ! Pire, le contact direct, le postillon si fin qu’un vent mauvais propage dans nos écoles, fait de chaque suspect un sujet qu’il faut isoler et du cas confirmé une classe à fermer.
Des millions de masques sont supposément déjà être prêts, le masque que tout patient respectueux d’autrui doit porter, crécelle moderne du lépreux… On voudrait croire que grâce à la modernité de nos échanges par textos ou e-mails, nous pourrions communiquer sans risque, mais les virus se cachent même dans nos ordinateurs…
En matière de mutation et recombinaison, il ne faut jurer de rien. Qu’importe ! Les « prédictologues » du pire, auteurs à succès, qui annonçaient 500 000 morts en France ont déjà vendu leurs ouvrages.
Le coronivarus 19, nouveau par son expression pathogène très sévère (une létalité qui a dépassé 50 % dans certains foyers), hautement contagieux par voie respiratoire, a touché dans certains hôpitaux le personnel soignant qui a payé de sa vie la transmission nosocomiale du virus lors des soins.
De cette pandémie on doit retenir la rapidité de propagation depuis l’Asie vers l’Europe et le continent américain, mais surtout l’impact économique qu’elle a généré (estimé à des milliards de dollars) en raison des mesures de contrôle du trafic aérien (biens et passagers). Elle a contribué à accélérer la mise en place du nouveau règlement sanitaire international sous l’égide de l’OMS .
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